Retour sur le camp de Valogne

La catastrophe de Fukushima se rajoute à la longue liste de l’horreur quotidienne du nucléaire, mais il n’est plus temps de s’étonner de cette réalité. Si pour certains elle est l’alibi d’un contrôle et d’une gestion de la vie plus poussée, elle attise pour d’autres un sentiment de colère qui ne se dissout pas dans le fatalisme ambiant ou l’attente désespérée d’une échéance électorale. C’est par un geste fort porté collectivement à l’intérieur même du pays le plus nucléarisé du monde que sortir de cette impuissance devient tangible.

En novembre dernier est parti le « dernier » transport de déchets nucléaires CASTOR (Cask for Storage and Transport Of Radioactive Material) de La Hague à Gorleben en Allemagne. Voilà qui a donner une occasion d’agir.

Ce qui etait proposé, c’était s’approprier les méthodes les plus éprouvées du mouvement anti-nucléaire allemand et de doubler le traditionnel rassemblement de Valognes d’un camp de deux jours, d’où partent actions et réflexions.

Que s’est il finalement passé : 

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